mardi 8 janvier 2013

Trois quarts... arrière.


Soyons réalistes, n'ayons l'air de rien.

Sentence pointue, mais ô combien pragmatique... d'abord en chansons, puis comme une rengaine entêtante il faut bien en accepter le principe: tu te retournes systématiquement  dès que tu croises une beauté, avec la stupide excuse de la dévisager. 

Où as-tu entendu dire que le nuque d'une aphrodite entre-aperçue pouvait déclencher un quelconque élan  libidineux?

Hypocrite ! et -tu m'excuseras si tu fais partie de mes lectrices- il va sans dire que d'un point de vue masculin qui plus est doublé d'un motard, tu ne pourras qu'encourager ce monument de la mauvaise foi.

Baste ! il en va de même pour les bécanes, tu me pardonneras ce travers des plus machos, mais le motard n'avouera jamais que le point de vue sur le cul de selle de la bécane qui le précède est celui qu'il préfère, si toutefois il ne parvient pas à remonter la concurrence au premier freinage !

Cette profonde réflexion (n'est-ce pas ! ;-) ) est inspirée par le tri que je mène depuis longtemps dans mon stock de photos de motos de tous âges et de toutes confessions ... 
Généralement statiques, ces clichés reprennent souvent la poupe de ces brêles qui, pour moi, est aussi parlante que la ligne générale ou la que la proue. 
J'aime le côté bestial de la honda ci-dessus, le côté "prêt à bondir" avec le pneu encadré par les deux mégaphones que l'on devine hurlants, à l'image des tuyères d'un jet. J'aime aussi le côté désuet que prend cette allure, déjà datée, anachronique, mais d'une simplicité presque sensuelle... 

Tu souris ? Dis donc ! tu as déjà apprécié le cul de ta belle lorsqu'elle arbore ses nouvelles chaussettes ! de préférence en 190, un bon boudin incite au voyage non ? alors ! 

C'est trop ? non, je ne crois pas. Moi, ça m'inspire. Je ne sais pas vraiment ce que en penses, ni même si tu as lu jusqu'ici ! :-) mais si c'est le cas, je sais que tu as compris.
Le jus de cervelle,  les heures de labeur consenties par le mécano,  le pilote, transpirent ici, à l'opposé du carénage qui masque l'avant de l'engin, et favorise la pénétration dans l'air.

Et si il n'y avait que l'échappement pour rebuter l'ignare écolo qui se serait risqué dans le sillage de ce cheval de fer, encore faudrait-il qu'il ai le nez fin, à défaut de l'oreille absolue !

Comme il est tard et que tu préfères les images, voici quelques clichés glanés ça et là, qui illustrerons parfaitement ce que je viens de te dire. 

Rhâââ ! puissance ou impression de, la guerre commence dans le paddock !





Ok, on peut rester coincé sur la béquille...


... ou porter la jupe en dessous du genou.


Là, c'est clair non ? accroche toi aux branches !


En panne ? Nan !  mais quel cul !


Le Savoyard l'aime relevé.


Le ton-up boy trifouille sous le drap.


Ah ! je te l'avais déjà montré celui là... mais quand même !


D'autres photos de culs ? c'est possible. Garde ton calme !
Archives maison, CML 2010 et 2011.

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